Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

très grande dépression - Page 13

  • La Grande Déconnexion

     

    A écouter les vœux aveux d’impuissance d’un Président élu sur un vrai diagnostic « combattre le capitalisme financier » mais dans l’incapacité d’y remédier on peut se dire que finalement, il n’existe de dandy que jusqu’au lit.

    Dicton nécronomique : "Promettre, promettre jusqu’à mettre, une fois que tu as mis,  plus rien de ce que tu as promis. »

    Faire peser une responsabilité sociale sur les entreprises moyennant une baisse des charges est une abstraction aussi absurde que faire peser sur l’éducation nationale la démission des parents motivés par les allocations familiales.

    Réduire les dépenses publiques et sociales, abreuver les banques de liquidités, rien à ce jour n’a marché car il est dans la logique du capitalisme financier de rentabiliser l’inutile plutôt que d’accorder des faveurs aux entreprises dont l’utilité publique exige beaucoup et rapporte peu.

    Un pacte pour vous, l’impact pour nous…

    Et voici donc venu le temps non pas des cerises mais celui des politiques dont l’unique mission sera de réduire les dépenses jusqu’à la fin du quinquennat en évitant une insécurité sociale grandissante qui propulse les ministres de l’intérieur en futurs présidentiables et en Sex Symbols.

     Vidéo protection et Big Data yoyo… (kes que t’as sous ton grand chapeau/// portail =chapeau).)  Il y a des mots et des gestes que l’on ne peut dire ou faire…Un seul individu pouvant déstabiliser la république indivisible. Assange et Snowden avaient raison…

    Ainsi donc, l’année en cours et la fin des emplois aidés marqueront la fin d’un projet économique associé à un projet de survie sociale. Les gouvernants prétendument appelés décideurs seront définitivement perçus comme les salariés déguisés de la Money Power et les derniers privilégiés.

    Le plus stupéfiant est leur méconnaissance de l’économie et des métiers du marketing. Il  y a quelques années lorsque j’expliquai que le localisme était l’ultime rempart face à la mondialisation, je passais pour un être régressif d’extrême droite. Depuis les gouvernants se sont emparés de l’idée constatant de fait que l’acte d’achat est plus important que le droit de vote dans les démocraties de marché mais leurs tentatives de labellisation sont infructueuses car la valeur d’échange est depuis belle lurette inférieur à la valeur d’usage et que les marques survivent aux hommes.

    En clair le middle marketing n’existe plus, seul subsiste le low cost et le luxe, le slip français coincé entre les slips pakistanais et les caleçons Calvin Klein n’a pas sa place dans l’hypermarché mondial.

    On peut surfer sur la vague mais dans un monde de représentation mondialisé, le plus fort finit toujours par l’emporter/ On apprend cela normalement dans les cours de récré… We play together we pay together…

    Il en est de même dans l’économie numérique où à part quelques pépites françaises, les logiciels sont tous américains et documentés en anglais. La messe s’est dite, il y a trente ans à l’époque où nous étions au minitel. L'ami Jeff Bezos et Amazon sont là pour nous le rappeler.

    C’est pourquoi, même  les dealers de banlieues encaissent en euros mais parlent en dollars conscients dans leur inconscience qu’ils jouent dans le modelé américain.

     

    Il ne s’agit plus de combattre mais de tomber à genoux comme les sociaux libéraux autrefois sociaux-démocrates ou de s’agenouiller comme les Market Friendly devant la réalité. Il faut avoir de la buée sur son cerveau comme sur un casque de moto pour s’en remettre au MEDEF pour la création d’emploi car si tel était le cas, mieux vaudrait basculer immédiatement dans le libéralisme le plus total et considérer que la précarité est préférable au chômage de masse dans un pays de rentier encore porté par l’investissement immobilier et les crédits sans crédits de vingt ou trente ans. Cherchez l’erreur…Quelle naïveté…Le passage de la nature à la culture, c’est le passage du cru au cuit, le plat semi cuisiné n’existe pas plus que n’existera le social libéralisme…Coincé entre la planche à billet et la déflation salariale.

     Schumacher, fils putatif d’Enzo Ferrari depuis la mort prématuré de Dino nous rappelle que la mort elle-même peut être active et que l’état critique si il est médiatique peut être bankable car toute sortie historique ne peut se faire que par le haut…

    A quoi sert un homme juste si son sang se glace dans les veines au moindre froid ?

    Nous n’attendons pas des politiques de la gestion ou de l’administration mais de la création…Faute de quoi, ils perdront leur légitimité et cela sera La Grande Déconnexion…Nous y sommes…

    PS : Comme dit l’ami Momo, si vous  avez besoin de recettes fiscales, libéralisez le cannabis comme dans le Colorado…

    C’est  ça le libéralisme avancé non hypocrite...

     

    http://necronomie.blogspirit.com/archive/2007/05/14/histoire-secr%C3%A8te-et-politique-du-papier-%C3%A0-rouler-ou-le-marke.html

  • Devenez acteur de la mutation, filez nous votre pognon

     

     

    Ça y est, c’est parti, on vous l’avait dit « l’éveil va être brutal… »

    Bon, si on résume pour faire simple, nos gouvernants ont pris conscience de la situation, ils se déchainent dans un flot de mesures visant à valoriser l’entreprenariat, la promotion du risque, la créativité de tous au pouvoir, afin de  mobiliser une part d’épargne des français sur les PME, épargne, qui était jusqu’à lors consacrée à l’immobilier valeur refuge dans un pays ou le CAC 40 est le même depuis 30 ans comme le rappelait récemment Xavier Niel et que nous rappelons depuis longtemps///

    Oui la France est un pays très structuré ou la valeur ne se crée pas aussi facilement qu’on veut bien nous le montrer à la TV des Amis du Marché. C’est pour cela que les marchands d’eaux ont changé de noms comme la plupart de nos fleurons : Tout simplement pour faire oublier qu’ils avaient fait leur cash là-dessus. La mémoire du consommateur forcé des ex monopoles ne laisse pas de traces dans les statistiques de l’OMC

    Pour le reste,

    L’Energie et l’Entertainment sont décidemment les deux seuls secteurs dans lesquels ils vaillent bien travailler. Le reste n’existe pas ou tout du moins nous en sommes pas sûr…Les fonds souverains et autres mannes après gazières ou pétrolières nous le démontrent chaque jour. Bolloré l’a compris depuis longtemps.

    Ce n’est pas un hasard si Brezinski est le père du tittytainment et reste un maitre à penser de la money Power. La finale de la champion s’league entre clubs allemands  commence même à nous être présentée comme la victoire de l’austérité et de la rigueur sur le je-m’en-foutisme des pays du club Med qui sont prêts à mourir pour leurs socios mais qui ne veulent plus payer d’impôts et qui ne veulent pas vendre leurs clubs à des qatari ou des saoudiens comme cela se pratiques couramment dans les règles du libéralisme le plus avancé, celui du je te prends et tu me redonnes puisque ce sont les autres qui prennent…

     

    Quel est donc, en clair, le défi que doit relever la France ?

    Transformer un rêve français dont le top du top est d’être salarié voire fonctionnaire : tickets resto, carte orange, possibilité de prendre un crédit, dans un nouveau rêve : celui de l’entrepreneur libre, petit génie du numérique ou génial exportateur de machines-outils labellisées bulle verte…

    Comme disait Momo : « C’est pas gagné ….

    En attendant d’ici peu, on va vous proposer d’être un acteur du changement désocialisé, libéré, contraint ou forcé ou expatrié….Pour les autres, seule compte la créativité…et la non consommation comme modèle insurrectionnel.

    Un plan décennal, c’est le ticket minimum…

     

    Nécronomiquement votre

     

  • Du Big bang au Gang Bang (de Copé à Nabilla).

    JF Copek le ptit kennedy veut un big bang économique.

    "Une politique économique, c'est de produire avant de consommer."

    Fin de la séquence Chômage/RSA/Assistanat

    Ne seront désormais encouragés que les groupes auto-aliénés dépendants de la séquence

    Travail-Consommation-Mort

    Petit rappel nécronomique :

     Assisté : Personne peu recommandable qui a perdu son emploi par manque de compétitivité mais reste un agent économique majeur puisque ce qu’on lui donne repart immédiatement dans la consommation. Bénéficiare d’un plan de relance déguisé afin qu’il ne menace pas la cohésion sociale.

    Supprimer le chomage et le RSA ne signifie rien d’autre qu’il faut désormais pour les gouvernements futurs, contrôler jusqu’à diriger la production afin d’obliger le peuple à consommer uniquement ce qui peut remettre l’économie sur les rails d’une croissance durable, la fameuse bulle verte telle qu’elle a été définie par la Money Power.


    Stopper la consommation sans sommation est la clef de l'évolution...Ainsi nous n'aurons pas à produire plus et le revenu d'existence deviendra une obligation.


    PS  /
    4000 ans de civilisation pour en arriver à Frigide barjot et à Nabilla...Pense t'on réellement que seules les marques survivront à la TGD (Très Grande Dépression) ?